Vous venez de lire le témoignage d’Anjara, une petite fille malgache dont l’histoire représente malheureusement le sort de milliers d’autres enfants que nous souhaitons aider en finançant les cantines scolaires. Régulièrement, Anjara ne mange pas à sa faim. Elle souffre donc de carences alimentaires graves qui retardent son développement. À 8 ans, elle devrait rejoindre ses petits camarades de classe et manger dans nos cantines scolaires le repas vital dont elle a besoin. Elle devrait vivre une vraie vie d’enfant : celle d’une personne en devenir qui construit son avenir en mangeant et en apprenant tous les jours.
Si Partage lance un appel à don aujourd’hui, c’est parce que vous pouvez transformer la vie d’Anjara et d’autres petits garçons et petites filles comme elle. Nous ne pouvons pas les laisser avec la faim au ventre !
Quelque soit votre don, vous soutiendrez nos cantines scolaires et améliorerez les conditions de vie des enfants défavorisés à travers le monde. Il incitera les familles démunies à envoyer leur enfant à l’école leur permettant de se nourrir au moins une fois par jour tout en rentrant dans un système éducatif qui le protégera et l’aidera à se construire un avenir meilleur.
Si vous êtes imposable, votre don effectué à Partage est déductible à 66 % de votre impôt sur le revenu, dans la limite de 20 % de votre revenu imposable.
AU BURKINA FASO
A Bobo Dioulasso, nous accompagnons l’Association Dispensaire Trottoir, qui prépare le repas de midi pour les enfants de maternelle du centre et des environs.
AU CAMBODGE
Les enfants des maternelles communautaires bénéficient désormais d’une cantine approvisionnée grâce aux banques de riz villageoises.
EN ÉQUATEUR
300 enfants de l’INEPE mangent du lundi au vendredi à la cantine.
AU NÉPAL
L’association Bikalpa distribue des repas aux 340 enfants bénéficiaires de son programme nutritionnel.
À MADAGASCAR
Les élèves de l’école des Salines bénéficient du projet de lutte contre la malnutrition à la cantine scolaire. Ils reçoivent un repas par jour avec un complément alimentaire et un suivi nutritionnel.
EN ROUMANIE
L’association Renaître à Orastie, entre autres, reçoit des enfants de 3 à 15 ans pour les nourrir 4 jours par semaine.
EN UNION DES COMORES
Deux écoles publiques et l’école communautaire MAEECHA, qui seront bientôt rejointes par une autre, distribuent les jours de classe une bouillie de maïs et de lait.
* Ces montants correspondent aux coûts des actions sur le terrain.
Merci pour votre soutien !